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Tourisme Solidaire à Beni-Khedache Beni Khedache est une ville de 3000 habitants, du sud est de la Tunisie, située entre le Djebel Dahar et le Grand Erg Oriental, à 30 km de Médenine et 130 de Djerba. "Après avoir découvert qu’en Tunisie , rien ne serait plus jamais comme avant et que les pseudos palaces de Djerba qui proposent la semaine à 300€ avion compris ont l’avenir derrière eux, on est ravi de se rendre compte que certaines initiatives proposent d’emprunter la voie romaine qui conduit de l’île au continent pour partir à la rencontre des gens du pays qui ne rêvent que d’y rester et de vivre de leurs propres ressources..." C’est justement dans le cadre d’un programme de développement durable et solidaire qu’est né en 2008 un projet pilote intitulé « tourisme authentique autour de Béni Khédache ». "Le programme a vu
donc le jour avec la participation de l'Union Européenne. A l’initiative conjointe du Département de l’Hérault français et du Gouvernorat tunisien de
Médenine.
Une des régions les plus déshéritées de Tunisie. Au sud, tout au sud, aux portes du désert dans cette ample et imposante nature caillouteuse qui aide à remplir en 3 lettres les grilles de
mots croisés : le reg.
La région a de nombreuses ressources. La géologie qui est passionnante et accessible à tout le monde, la découverte de l’habitat traditionnel avec les ksours qui "Les différents gites sont très proches les uns des autres au départ de Beni Khedache, autour du village de Zammour et de l’oasis de Ksar Hallouf, et les hôtes qui accueillent les voyageurs avec le thé à la menthe et de l’eau en bouteille connaissent la région comme leur poche. Évidemment les randonneurs, qu'ils viennent deunis, de Lille ou de Montpellier, lorgneront vers le grand erg qui étend ses dunes de sable à 60 kilomètres à peine. Et les propriétaires se débrouilleront pour les emmener quand les marcheurs auront épuisé leur soif de randonnée. ..." "On goute leur miel, leurs galettes de pain, cuites par la grand-mère et leur fromage au petit déjeuner et on boit du jus d’orange et du lait en brique. Sinon, il faut aller traire la chèvre ! Parce qu’il n’y a pas d’autres animaux, mis à part quelques moutons, quelques poules et bien sûr des dromadaires. Pas de vaches et naturellement pas de cochons. Des sangliers sauvages bien sûr, mais que la religion interdit de manger." Extraits de Martine Montémont Composantes
du projet
Quelques adresses |
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Dar Sanaa
Dar Yasmine gîte de groupes Iheb
Lamia
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